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Edition du coffret "Et 8 font 20 !", compilant les huit shows produits entre 2009 et 2011.
2011 le voit une fois encore été déclaré par la presse « Maître incontesté des audiences en Belgique » (Source DH) qui rappelle que «L’humoriste reprend sa couronne de roi de l’audience, et de quelle manière ! Il classe 3 émissions dans le Top 10 et une quatrième dans le Top 20. Tout bonnement phénoménal.»
En 2011, il occupe donc la deuxième place du Top 100 des audiences de la télévision belge, toutes chaînes et tous programmes confondus, juste derrière l’édition spéciale du journal de RTL-TVI du 13 décembre.
Il réalise ainsi le plus beau palmarès de sa carrière en occupant seul les trois premières marches du podium des productions belges (hors info et foot).
Aujourd'hui, il vit en France depuis 18 ans où il s'est posé en Loir et Cher, à un jet de TGV de Paris ou de Bruxelles, loin des embarras du Ring Est et du Boulevard Sebastopol, pour mieux penser à ce qui le fait rire, et écrire sur ce qui l'empêche de dormir en rond.
En 2010, il se prête au jeu de la publicité pour des campagnes télé sur les chaînes belges et françaises, produit un nouveau programme de divertissement pour la RTBF, repart en tournée avec « Ça va mieux, merci. » et édite plusieurs DVD.
De septembre 2009 à juin 2010, après 16 ans d’absence, il revient à la radio sur BelRTL pour y livrer «Aïe-Phone», un canular téléphonique quotidien sur l’actualité.
Certains seront alors sujets à polémique dans la presse belge et internationale.
Deux Cd best-of sont édités
En novembre 2009, après avoir promené son Borinage natal de Bruxelles à Arlon et de Paris à Montréal, il revient à Jemappes avec « Retour à Boriwood » pour fêter ses 25 ans de scène à l’occasion de deux soirées exceptionnelles données devant 7000 personnes.
C’est aussi en 2009 qu’il épouse Julie, sa compagne depuis 15 ans et maman de trois de ses cinq enfants.
En 2008, la RTL-TVI et la RTBF s’associent exceptionnellement pour éditer un coffret de 12 DVD réunissant l’intégral de tous ses spectacles.
Entre 2006 et 2007, il s’installe pour plusieurs mois dans la grande salle du théâtre du Gymnase à Paris pour présenter la Belgique de ses personnages au public parisien qui en redemande.
En novembre 2007, avec « Asile politique », il signe le plus gros score d’audience jamais réalisé par un programme de télévision en Belgique avec un record qualifié d’historique par la presse, soit 50,2% de part de marché et près de 1.000.000 de téléspectateurs.
(la Belgique compte 4.300.000 francophones)
Nouveau pâturage réjouit les veaux puisque depuis sept ans il se classe chaque année dans le top 10 des meilleures audiences de la télévision belge, toutes chaînes et tous programmes confondus, en trustant, comme en 2002, la première place en 2007, 2008 et 2009.
Plusieurs fois vidéo d'or et de diamant et recordman d'audience, il s'amuse aussi au théâtre en adaptant, en jouant et en mettant en scène "Le Père Noël est une ordure" et "La bonne planque" qui fera l'objet d'une retransmission en direct, une grande première pour la télévision et le théâtre belges.
Nouveau succès, puisque la pièce est consacrée meilleure audience de l'année 2003 pour la chaîne du service public.
Mais en 1996, alors éloigné de sa Belgique depuis près de deux ans, Thierry trempe goulûment la plume dans sa belgitude et écrit depuis Paris "J'ai très bien connu Chose!", one-man-show de plus de trois heures qui le consacrera chez lui "artiste de tous les records".
En 1994, Laurent Ruquier lui propose de rejoindre l'équipe de son émission quotidienne "Rien à Cirer" sur France Inter puis sur France 2 et TF1.
Ils collaboreront joyeusement deux saisons de suite.
Sa carrière de standardiste ne durera donc que trois mois, puisque le 9 janvier 1983, il est propulsé sur l'antenne nationale de la radio en y décrochant d'emblée sa propre émission, tous les dimanches de
10 à 11 heures.
Thierry, sans vraiment s'en rendre compte, faisait beaucoup rire Jean-Loup et sa bande.
Il n'a encore que 19 ans et ne sait pas encore que l’aventure ne fait que commencer.
Dix ans de radio dominicale plus tard, Thierry, devenu François Pirette par la force des ondes et du canular téléphonique, s'est illustré sur scène, à la radio, à la télévision, et est devenu, au gré des hasards, des succès et des records, l'un des amuseurs les plus populaires de Belgique.
Inscrit à 19 ans dans une école de publicité histoire d’échapper au moins un an de plus au service militaire, il y rencontre Jean-Loup Viseur, professeur dilettante de l'élève antimilitariste.
Jean-Loup, aussi producteur d'émissions de radio à la RTBF, confie alors à Thierry un job de standardiste, le week-end, au centre de production de Mons. Ravi de ne pas devoir cuire des hamburgers au Quick ou pousser des caddies à Carrefour pour gagner sa vie d’étudiant, c'est avec enthousiasme que Thierry décroche le téléphone d'octobre à décembre 1982.
Car au Borinage, si on s'engueule beaucoup, on rit aussi énormément.
Ecole primaire très grise et très primaire dans une école publique.
Ensuite, c'est à l'Institut Saint Ferdinand de Jemappes (comme Adamo) que ses études le poursuivent, mathématiques en avant, jusqu'en 1982. François Pirette est né Thierry Van Cauberg d'un papa Gérard et d'une maman Anny. C'était à Mons, en Belgique, le 7 février 1963.
Thierry traverse son enfance et son adolescence "à
l'ombre des terrils", comme on dit dans les lourdes littératures qui fleurent bon la sueur et le charbon.
Enfant de Jemappes comme Adamo (à Jemappes, on ne peut rien faire ou dire sans ajouter à la suite: "comme Adamo !" ; il faut dire que le petit Thierry habita la même rue que son illustre voisin pendant plusieurs années...), il grandit bercé au son des sonnettes de tram, des grèves de métalos, des tambours de Gilles, des tests de sirène d'alarme (son papa travaille à la banque), de «mes-mains-sur-tes-zhanches» et des fous rires des dimanches après-midi passés en famille. EN BREF...
François Pirette est sans doute aujourd'hui l'humoriste le plus populaire de Belgique francophone.
Baptisé par la presse belge : « artiste de tous les records », il signe chaque année les plus grands succès d'audience de la télévision belge et ses one-man-shows sont devenus des événements où l'on se précipite de 9 à 99 ans.